exposé sur les coumarines
Les coumarines
Les coumarines sont des composés phénoliques avec des cycles benzène condensé (Fig. 15.4) et .
responsable de l'odeur caractéristique du foin. Ils ont une « métabo-
olism » et les dérivés toxiques de la coumarine peuvent être excrétés dans l’urine humaine sans danger [52].
Il a été rapporté que les coumarines peuvent stimuler les macrophages [53] et ainsi exercer
un effet indirect sur les infections virales, tel que constaté avec la warfarine anticoagulant orale
(Fig. 15.5), qui prévient la récurrence de l'herpès labial provoqué par HSV-1 chez l'homme
[54] Les propriétés antivirales spécifiques des coumarines sont rares (tableau 15.2), bien que
certaines, comme les coumarines de Prangos tschimganica, ont une activité anti-VIH [55].
Les inhibiteurs naturels de la transcriptase inverse les plus intéressants sont le 4-propyldipyrano
les coumarines, ou calanolides, isolés des arbres de la forêt tropicale humide Calophyllum
lanigerum var. austrocoriaceum et C. inophyllum du Sarawak dans l’île de Bornéo
Malaisie [56]. Les coumarines de Calophyllum sont classées comme calanolides, inophyllums,
et cordatolides, selon le substituant C-4 sur le noyau lactone. Struc-
Des études sur la relation entre l’activité et l’ activité ont révélé que les groupes méthyle en C-10 et C-11 et
une liaison hydrogène en C-12 est responsable de l'activité anti-VIH-1. En raison de son potentiel
activité sur la transcriptase inverse du VIH-1, les calanolides A représentent une nouvelle
inhibiteur non nucléotidique de la transcriptase inverse et peut être utile en association
avec d'autres médicaments antirétroviraux [16].
15.3 Principaux groupes d’antiviraux à partir de plantes 323
Fig. 15.1 Acide caféique. Fig. 15.2 Procyanidine B2. Fig. 15.3 Catéchol.
Fig. 15.4 Coumarine. Fig. 15.5 Warfarine.
15.3.3

Post a Comment

Previous Post Next Post